En fait c’est un fond de vallée avec un lac en longueur et entouré d’arbres. Pour une fois je suis venu avec les enfants, ce qui nous vaut les photos de ma fille Louise. Sinon ce n’est pas la grande forme faute à un petit virus et à une otite. Je fais donc une arrivée comme d’hab. en retard, voici la photo prise dans les 5 minutes.
quand je passe la ligne de départ dans le mauvais sens, j’ai encore le safran sur le pont arrière, les trappes ouvertes, mais la voile est hissée. Une fois le safran en place, mon élastique de retenue de barre me permet de naviguer vaguement au prés tout en rangeant le bateau, pour le suivit des risées folles à l’approche du barrage on verra plus tard, je ne risque aucune collision, il n’y a plus personne. Bon c’est rangé, du moins navigable, je reprends contact avec les attardés puis passe la bouée au vent au milieu du peleton. Un bord de largue 50 m puis un grand bord de vent ar. L’autre Yole Pierre Debicki est...bien devant. Un prés, Un vent ar. Puis un prés jusqu’à l’arrivée devant le club, Je remonte mon groupe de bateau, je passe Pierre. Mais 4 échappés à la faveur d’une risée des la première bouée au vent finissent très loin devant, les passages à niveaux se révéleront fréquents lors de cette régate avec des bonus de 50 à 100 m.
Retour à terre apéro fournit par le club une tradition à Carmaux, puis repas en famille. Ensuite,
Manche suivante et là, mon chrono qui ne m’a pas encore servi pour cette régate est passé d’un compte à rebours 5 minutes à 3 minutes et je n’arrive pas à le recaler ( j’avais un autre système de compte à rebours) donc départ loupé, Debicki fait une beau départ je suis ndans les 7 à la bouée au vent, au prés suivant Je croise un Snipe et un 445 qui sont encore au vent ar. avec peu d’écart entre eux, j’arrive prioritaire en tribord et Le gros dévent du au 445, je pars en contregîte alors que je suis à plus de 4n. La yole part séchement à l’abattée en route de collision avec la Snipe, j’étais prêt à rentrer mais ce fut trop brutal, je rentre, lofe en grand, ça passe sauf le tangon du snipe qui tape mon mât et se plie, j’hésite à continuer et surveille la mise en remorque du Snipe les voiles sont affalées le mât reste en place, je regarde plus derrière que devant puis je finis juste derrière Pierre qui fait 4.
Manche suivante, j’ai vu qu’a part le tangon plié tout est ok pour le Snipe. je n’ai pas résolu mes soucis de chrono, mais le sachant le départ est sans chrono c’est plus que moyen mais mieux. Je passe en 5 la bouée au vent, je fais le vent ar. Je remonte au vent et lorsque je passe en bonne position devant le club, coup de trompe sur la ligne d’arrivée qui était en fait pour une arrivée d’Optimist et je m’arrête, bon ! fin de la manche pour moi on peut pas dire que c’est un bon jour, je retourne à terre y attends le départ de la manche suivante. Durant ce temps je trifouille mon chrono et trouve la solution.
Départ de la dernière manche Je passe en 4 la bouée au vent à la faveur d’un bord breton mais une grosse rafale ne met permet pas de démarrer comme je l’aurais voulu et me cloue sur place j’y perds ainsi une place. Je me fais lâcher sur le bord de vent ar. je perds 20 m puis 20 de mieux durant le reste du bord, j’en reprends une dizaine durant le bord de prés le 2 ème tour sera idem. Je fais une manche de 3.
Bon on passe rapidement à autre chose j’espère ne pas trop trainer ce virus.
Prochain rendez-vous Sanary.
Yann Rialland